sans faire de la voyance, sans faire du sensationnel, soyons un petit peu réaliste :
quel intérêt représente le sort de Florence pour le gouvernement ? N’aurait-elle pas découvert
des choses pas très avouables ? Ne met-elle pas le gouvernement dans une situation à l’obliger à s’expliquer ? Quand on sait que Florence représente le journal Libération, elle n’allait pas faire du shopping. Elle savait quelque chose et tenait à le prouver… au risque peut-être d’en perdre la vie. Jacques Chirac a clairement dit qu’il savait, qu’il avait des informations mais qu’il ne tenait pas à les divulguer pour ne pas compromettre les chances. Est-ce franchement un discours pour sauver une compatriote ? L’embarras sur cette histoire est évidente…
Jusqu’où le silence est autorisé ?