Bonjour,
pour répondre à votre première question, il m’est arrivé effectivement de faire part directement de mes perceptions auprès d’enquêteurs chargés d’affaires de disparition.
Il faut savoir la difficulté qu’il y a à se faire entendre, en particulier en France, assez hermétique en la matière.
Jusqu’à présent, ma première vraie expérience de vraie collaboration s’est faite avec le canada, pendant deux mois, avec un enquêteur qui m’a particulièrement bien accueillie dès le premier contact, sachant que je les avais contactés de mon propre chef, ayant reçu des informations à distance sur une affaire de disparition, absolument pas médiatisée.
Mes tentatives de contact en France m’ont un peu refroidie. J’ai été écoutée avec attention, on ma transmis un e-mail sur lequel envoyer mon dessin (plan de localisation) puis plus rien. Donc, aucun échange, impossible pour moi d’évaluer ou situer mes informations reçues pour les confronter avec les éléments trouvés sur place, chose indispensable pour avancer. Donc, le blanc total. Et à partir du moment o il n’y pas d’échanges avec le récepteur des informations (le medium), les enquêteurs ne peuvent pas vraiment utiliser les informations, ou très peu, car il faut avoir l’esprit conditionné pour cette forme particulière de recherche ( chose qui s’est produite lors de mes échanges avec le canada).
Actuellement, un enquêteur privé français m’a demandé de me pencher sur une affaire de disparition, datant de plusieurs années.
C’est un véritable échange qui peut se mettre en place, dans ce seul contexte. Cela n’est pas officiel, ni médiatisé, et c’est un travail de très longue haleine, qui demande de déployer une énergie importante, pour des résultats incertains. Je ne donnerai bien entendu pas le nom du monsieur, ni le nom de la personne disparue, comme pour le canada.
Ce qui m’amène à répondre à votre seconde question, quant à l’utilité de mes recherches et publications des informations que je reçois.
L’enquêteur privé qui m’a contactée pour l’affaire dont je vous parle, ne m’aurait jamais contactée s’il n’avait pas pris connaissance des résultats que j’ai obtenus et publiés sur "le journal de demain"pour les disparitions du petit David L. à Redon, et du petit Julien à Bourg-les-Valence (voir actualité comparée).
Donc, ce genre de prédictions se révèle à mes yeux utile à plusieurs niveaux :
1.Apporter les preuves que l’on peut-être utile, par l’accumulation des preuves par les preuves, grâce à la comparaison prédiction/réalité que permet le journal de demain
2.Eveiller par conséquent l’intérêt d’enquêteurs intéressés, qui se manifestent spontanément au(x) medium(s), ce qui peut mener à un échange vraiment constructif, sans gloire puisque cela se fait alors dans l’ombre, seule garantie de sérieux.
3.Contribuer de ce fait à l’évolution de la voyance mais aussi de la parapsychologie, en particulier en France, faire évoluer les mentalités et le regard sur ce phénomène, ce qui permettra une meilleure acceptation de ces capacités dans notre société et donc, à ouvrir des portes plus régulièrement pour laisser des médiums aider.
4.Sur un plan personnel, ce travail de recherche de comparaison entre ce que je perçois, et ce qu’il se produit ensuite, me permet une analyse et un recul inespérés sur mon travail, ce qui de fait m’offre la possibilité de m’améliorer chaque jour qui passe
5. Sur le plan professionnel au sens large, permettre aux mediums qui le souhaitent, d’avancer dans cette même voie, d’éprouver leurs capacités et fixer leurs limites, pour avancer, ensemble.
Je voudrais terminer en précisant qu’il n’est pas aisé de perturber le travail remarquable des enquêteurs français lors de disparitions.
Etant donné qu’il n’y a aucun cadre définissant cette profession, et pas de vrai acceptation du phénomène dans notre société, on peut comprendre les enquêteurs qui ont mieux à faire que passer leur temps précieux à trier les informations de tout et n’importe quoi, car ils ont droit à tout. Ils font déjà leur travail en acceptant de prendre note des informations transmises, à nous donc de faire évoluer notre propre profession. Et peut-être, nous arriverons à quelque chose d’intéressant tous ensemble.
En espérant avoir bien répondu à votre question.
Celtika
ps : cela fait à peine 9 mois que les disparitions sont entrées dans mon travail, imaginez ce que nous pouvons réaliser en plusieurs années, à plusieurs mediums.